Les espèces phares
Le parc abrite principalement une forêt dense humide de moyenne altitude. Il possède une forte diversité biologique autant pour la faune que la flore malgré sa petite superficie.
Le parc abrite principalement une forêt dense humide de moyenne altitude. Il possède une forte diversité biologique autant pour la faune que la flore malgré sa petite superficie.
12 espèces
3 en danger critique (ex : Indri indri), 2 en danger (ex : le lémurien nocturne Aye-aye), 6 vulnérables
135 espèces
6 en danger (ex : le grèbe malgache), 8 vulnérables (ex : l’effraie rousse de Madagascar, le râle de Madagascar)
59 espèces
1 endémique locale, 1 en danger critique, 2 en danger, 2 vulnérables
64 espèces
2 endémiques locales, l’une étant en danger ; 4 autres en danger et 2 vulnérables
1125 espèces
843 endémiques de Madagascar : 3 en danger critique, 3 en danger, 5 vulnérable et 13 endémiques locales parmi lesquelles 3 en danger critique
Forêt dense humide sempervirente de moyenne altitude, forêt secondaire
Défrichement pour l'agriculture itinérante sur brûlis et accaparement de terres, feux, exploitation forestière illégale, collecte de produits forestiers non ligneux.
Source de devises et représente une opportunité d’emploi pour les riverains (opérateurs privés, communautés riveraines) à travers l’écotourisme.
À l’instar de toutes les aires protégées gérées par MNP, la gestion du Parc National Analamazaotra est de type cogestion collaborative avec la participation des membres des communautés locales dans les activités de conservation et de développement. Ils sont regroupés dans les CLP (Comité Local du Parc) et les COSAP (Comité d’Orientation et de Soutien des Aires Protégées).
L’appui de la FAPBM au Parc National Analamazaotra a débuté en 2023. Pour les aires protégées gérées par MNP, la FAPBM assure la sécurisation des charges salariales et de quelques frais de fonctionnement.