Les espèces phares
La flore du site est encore mal connue mais semble inclure des éléments typiques de la forêt de la région. Par contre, la réserve possède une grande richesse biologique en faune, en particulier pour les oiseaux et les amphibiens.
La flore du site est encore mal connue mais semble inclure des éléments typiques de la forêt de la région. Par contre, la réserve possède une grande richesse biologique en faune, en particulier pour les oiseaux et les amphibiens.
8 espèces
3 en danger critique (ex : Indri indri), 1 en danger (le lémurien nocturne Aye-aye), 3 vulnérables (ex : le lémur à ventre rouge)
105 espèces
5 en danger, 4 vulnérables
34 espèces
4 espèces
2 vulnérables (le fosa et la civette malgache)
27 espèces
26 sont endémiques de Madagascar parmi lesquelles 1 espèce de palmier en danger critique, 3 espèces de flore en danger (dont 2 palmiers), 1 vulnérable
Forêt dense humide de basse et de moyenne altitude, forêt de transition,, végétation rupicole, mosaïque de cultures, fourrés et forêts secondaires
Coupe illicite, collecte des produits forestiers secondaires, divagation des bétails, défrichement sur savoka et braconnage
L’AP abrite un réseau hydrographique qui occupe une place importante dans l’économie de la région : réservoir d’eau qui irrigue la région, alimentation du site hydroélectrique d’Ivolobe, rivière pour le transport de marchandises, cours d’eau utilisés à des fins agricoles ou domestiques.
À l’instar de toutes les aires protégées gérées par MNP, la gestion de la Réserve Spéciale Mangerivola est de type cogestion collaborative avec la participation des membres des communautés locales dans les activités de conservation et de développement. Ils sont regroupés dans les CLP (Comité Local du Parc) et les COSAP (Comité d’Orientation et de Soutien des Aires Protégées).
L’appui de la FAPBM à la Réserve Spéciale Mangerivola a débuté en 2023. Pour les aires protégées gérées par MNP, la FAPBM assure la sécurisation des charges salariales et de quelques frais de fonctionnement.