L’actualité mondiale sur Madagascar n’a pas été fort positive ces derniers temps. En effet, Madagascar a été et continue d’être confronté à plusieurs défis. Cependant, il existe une quantité importante de bonnes nouvelles concernant les efforts déployés pour préserver sa biodiversité.
Sous le co-leadership de FAPBM et MNP, les responsables de la Communications de quelques acteurs de la conservation se sont convenu pour aligner progressivement les efforts de communication, pour renforcer de manière significative le soutien des différents publics stratégiques et des groupes cible pour le renforcement du système d’aires protégées de Madagascar comme approche numéro un pour atteindre la vision nationale de la biodiversité.
Un séminaire de créativité
Les travaux de groupe ont mis en exergue des opportunités pour améliorer la sensibilisation envers les groupes cibles et un accord sur les prochaines étapes à suivre est programmé pour y parvenir. Concernant la valeur des aires protégées de Madagascar en tant qu’agents de changement pour la réduction de la pauvreté des communautés locales et le développement durable des économies locales et régionales.
L’expert néerlandaise en développement durable marin et côtier Lida Pete-Soede a conduit les séances de réflexions. Deux experts locaux en communication ont également accepté de partager leur expérience. Aina Dedem Ranaivoarilala de l’agence Logias Studios a abordé trois principes majeurs dans la communication : Identité, Visibilité et Crédibilité. De son côté, Jamina Canicave, de l’agence Sango Media, a élaboré sur le défi majeur les projets de communication : avoir de l’impact.
Mettre en avant les experts et communautés locaux
Parallèlement, la communication sur les aires protégées devra être réorientée vers une narration positive et mettre en évidence l’efficacité des organisations de conservation à Madagascar, les experts locaux engagés et compétents, les stratégies mises en œuvre en collaboration avec les communautés locales, et surtout les résultats positifs obtenus.
Un changement de discours sur les fonctions écosystémiques et socio-économiques des aires protégées et sur l’opportunité de travailler à travers les aires protégées en t’nt qu’agents de changement amélioreront de manière significative le soutien aux stratégies des aires protégées de tous les groupes environnementaux.
Rallier le groupe de communicants pour les aires protégées
Les participants à cet atelier viennent des institutions ci-après : Turtle Survival Association (TSA), Groupe d’Etudes et de Recherche sur les Primates (GERP), Blue Ventures, Institut Malagasy pour la Conservation des Écosystèmes Tropicaux (MICET), WWF, Madagasikara Voakajy, Missouri Botanical Garden, The Peregrine Fund, ONG L’Homme et l’Environnement, Madagascar National Parks (MNP), Muséum National d’Histoire Naturel, Biodiversity Conservation Madagascar, Asity, WCS, Kew, Fanamby, Tany Meva, Conservation International, Sadabe, Fondation pour les Aires Protégées et la Biodiversité de Madagascar (FAPBM).
